Anne Bonaventure - En Angleterre
Le mardi 16 juin 2009 à 13:39 :: En Angleterre
Je n'y suis jamais allée, par contre j'ai suivi le couronnement de la Reine, je sais où se situe Trafalgar Square, j'ai aimé les Beatles, les Rolling Stones, j'apprécie les films romantiques, et pourquoi pas les téléfilms historiques.
En Angleterre j'ai des amis mais s'ils ne parlent pas le français je ne peux communiquer avec eux. Mais par contre j'ai des amis anglais en France et eux parlent ma langue. J'irai bien visiter leurs musées à Londres mais déjà pour moi cela fait loin. Et puis bon ce sont des voisins et comme je l'ai dit plus haut c'est eux qui se déplacent et dans ma région je ne dis pas qu'ils pullulent mais.....Les anglais oui ont de l'humour tout le contraire de nous, je trouve. En Angleterre les paysages sont magnifiques, les jardins pleins de roses, les pubs c'est pas mon truc. Voilà j'ai fait le tour de mes connaissances je pense que je suis au-dessus de la moyenne française sans me vanter.
Commentaires
J'y suis allé une seule fois.
Il faisait beau à Londres, ce qui était déjà peu ordinaire en soi et en a étonné plus d’un.
Un programme d’une densité épuisante nous attendait.
A n’en pas douter, Londres est une ville passionnante. Infiniment moins que Paris, évidemment, mais tout de même assez pour intéresser un esprit critique. Toutefois, pour vous en parler, il me faudrait y vivre plusieurs mois. Ses musées, ses palais, ses jardins, ses quartiers riches d’histoire et d’architectures ont de quoi vous enchanter toute une saison, alors que si vous n’y passez qu’une fin de semaine ils vous abrutissent.
Le CIAL nous a offert une visite intégrale de Londres en autocar. Bien sûr, nous n’avons pas tout visité, mais nous avons tout vu. Seigneur ! Moi qui n’étais jamais venu à Londres et qui ne connaissait de cette ville de sept millions d’habitants que le palais de la reine pour l’avoir vu à la télévision lors d’un mariage commenté par Léon Zitrone, j’ai tout vu en trois heures ! Pour dire vrai, j’avais déjà entendu parler aussi de leur tour dont ils sont si fiers. La tour de Londres, quoi. Elle est moins belle que la tour Eiffel, naturellement, mais rentrer de Londres sans l’avoir vu serait sacrilège. Elle a été construite par un certain monsieur Ben. Un grand arabe, je pense, car ils disent " Big Ben ".
Nous avons tout vu, mais je serais bien incapable de vous raconter cela dans l’ordre, tellement nous en avons vu et n’avons cessé de tourner en rond et de revenir sur nos pas. Comme s’il voulait brouiller les pistes, le chauffeur nous a fait traverser la Tamise au moins dix fois (l’équivalent de la Seine à Paris, mais en beaucoup trop large). Nous étions quelques-uns dans le car à essayer de nous repérer sur un plan, mais l’exercice était si périlleux que rapidement nous ne sûmes plus dans quel sens tenir notre carte. Il nous fallut abandonner car cela nous prenait trop de temps et nous en étions au point d’oublier de regarder à l’extérieur. Et je ne parle pas du risque de torticolis que cette gymnastique nous faisait courir.
Nous avons vu le Palais de Westminster, la Cathédrale de Westminster, l’abbaye de Westminster et le musée de Westminster. Tout cela m’a paru très compliqué, d’autant plus que nous avons vu des musées qui ressemblaient à des églises, et des églises qui ressemblaient à des musées. Je vous jure que je souffre beaucoup pour vous raconter cela, ce qui me fait penser que vous devez souffrir beaucoup pour essayer d’y comprendre quelque chose, mais c’est ainsi. Mon amour de la vérité m’interdit d’arranger quoi que ce soit dans ce désordre anglais pour faciliter votre compréhension. C’est toute la nuance que l’on peut trouver entre un jardin anglais et un jardin dit " à la française ".
Nous avons traversé des quartiers du 18ème siècle qui étaient fréquentés par Charles Dickens, des quartiers du 21ème siècle fréquentés par les hommes d’affaires, des quartiers riches pleins d’ambassades, aux trottoirs bordés de limousines dont le prix permettrait de nourrir une famille d’ouvriers durant toute leur vie, et des quartiers pauvres, pleins d’ouvriers qui travaillent pour nourrir les ambassadeurs.
Nous avons traversé Hyde Park, Holland Park, Regent’s Park, Green Park, Greenwich Park, Richmond Park et St. James’s Park.
Nous sommes passés devant la maison du maire (Mansion House), la maison du premier ministre, et la maison de Benny Hill.
Nous avons vu des demeures aristocratiques toutes en briques et des logements de misère tout en pierres.
A la fin du parcours, l’autocar nous a déposé à proximité du très grand magasin Harrod’s car nous brûlions de voir ce très célèbre magasin londonien de renommée mondiale, dont je n’avais jamais entendu parler.
Bien que nous en trouvant à proximité, en face de Hyde Park, près de la Cross Society, notre groupe a eu quelques difficultés à le trouver.
Par je ne sais quelle aberration mentale, nous avons pris par Grosvenor Crescent puis descendu la Belgrave Street, ce qui nous éloignait de notre destination. Le doute s’insinuant dans les esprits, chacun a sorti son plan de Londres pour donner son avis sur la question. Alors que nous souhaitions tous nous rendre au même endroit et disposions tous de la même carte, les opinions étaient très partagées sur la meilleure direction à prendre.
Personnellement, pour ne pas être en reste, j’ai fait part de mon point de vue avec beaucoup de conviction, ce qui nous éloigna davantage, jusqu'à l’église St Peter. Pourtant, je reste persuadé que si la direction que j’avais choisie avait mené là où elle devait mener, elle nous aurait conduit où nous voulions aller !
Finalement, nous avons bifurqué sur Eaton Square, remonté Lyall Street, Pont Street puis Sloanne Street. Là, nous nous sommes séparés du reste du groupe pour couper par Hans Crescent et tomber directement sur les magasins Harrod’s. Les autres ont remonté tout Sloane Street jusqu'à Knightsbridge et redescendu par Brompton Road pour arriver enfin chez Harrod’s. Vous vous rendez compte du détour ! J’en ris encore. Je les ai laissés faire car la fatigue du voyage avait émoussé leur bonne humeur et je les sentais peu disposés à suivre mes conseils. Que d’ingratitudes alors que je les avais conduits jusqu’ici sains et saufs !
Ces quelques kilomètres de trottoir nous avaient retardés et creusés un appétit que quarante minutes de mastication opiniâtre dans le restaurant le plus proche suffirent à peine à rassasier. Ensuite, seulement, nous pénétrâmes dans le temple Harrod’s.
Monsieur La Fayette a un beau magasin à Paris, mais j’ai peine à le dire, celui de Monsieur Harrod’s est encore plus beau. En particulier, les salles réservées à l’alimentation sont grandioses, superbement décorées et conjuguent harmonieusement faste et opulence. Hélas, nous ne disposons pas de l’équivalent en France, et vous savez ce qu’il m’en coûte de vous avouer une chose pareille ! A l’intérieur, il y a la foule des acheteurs et celle des touristes. Cela fait beaucoup de monde et les déplacements sont parfois laborieux, tant il y a de monde qui se croise et se bouscule. A un moment, nous nous sommes sentis plus à l’aise et plus libres de nos mouvements. Plus personne ne marchait sur nos pieds, et il nous était même possible d’aller où nous voulions. Je pense que cela était du au fait que nous passions devant un étalage de " vache folle " au rayon " Boucherie "
Il y avait tant de choses dans ce temple du commerce que nous n’avons rien trouvé à acheter. Christine, après bien des efforts, a déniché une superbe tasse à thé qui faisait très " patrimoniale " et témoignait d’une personne de goût, au jugement sûr, ne se laissant pas distraire et sachant faire le bon investissement. Elle l’a oubliée dans les toilettes du magasin. Cela est d’autant plus regrettable que nous étions quelques-uns à penser que cette tasse, habilement placée sur le coin de son bureau, aurait sûrement facilité la réalisation de ses objectifs commerciaux. Enfin, l’essentiel reste qu’elle ait acheté quelque chose. L’honneur était sauf !
Au retour, le groupe a fait preuve de bon sens car il m’a confié la direction des opérations. Nous sommes donc rentrés à pieds sans la moindre hésitation et sans avoir fait un pas inutile. Je suis tout particulièrement doué pour guider les gens dans une ville étrangère. C’est une de mes nombreuses qualités pour lesquelles Christine m’admire tant.
Pour Londres, j’ai peut-être moins de mérite car je suis anglais. Cela vous étonne, je le sais, et le désappointement se peint sur vos visages. Certes, je suis né en France, mais il naît tous les jours, et même les nuits, des babys anglais en France, de même qu’il naît tout autant de bébés français en Angleterre. Cela étant bien posé, il est vrai que je suis un anglais né de parents français. De plus, au Collège N.-D. de Mont Roland où j’ai fait l’acquisition d’une bonne partie de mon instruction, lorsqu’il a fallu choisir pour l’étude des langues étrangères entre l’allemand et l’anglais, j’ai choisi l’allemand, de sorte que je ne sais pas un mot d’anglais. Pourtant on ne saurait prétendre que je ne suis pas anglais parce que je n’ai pas choisi l’anglais. J’ai choisi l’allemand, et je ne suis pas allemand pour autant. CQFD.
Je sens naître en vous (et enfin) la conviction que je suis anglais, et pour répondre à vos dernières interrogations (car vous vous demandez, n’est-ce pas, comment ce fait majeur a pu vous échapper) je vous ferai remarquer qu’on a toujours dit de moi que j’avais " le style " anglais, l’allure british, et que je pratiquais, à l’occasion, l’humour anglais. Vous en conviendrez. On a souvent dit, aussi, que je ressemblais à David Niven, ce qui constitue une preuve irréfutable car on ne fera croire à personne que cet acteur est bavarois, napolitain, pygmée, japonais, ni même esquimau. J’ajoute, s’il en était besoin, que je mets souvent des cols de chemise anglais.
Je vous l’accorde : il est affligeant qu’un anglais ne parle pas sa propre langue, mais pour ma part, je préfère parler français. Parler une langue étrangère aussi bien que je le fais est chose rare, alors que parler sa langue maternelle est banal à pleurer.
J’admets cependant qu’en de telles circonstances, il m’aurait été utile de parler un peu ma langue maternelle. Surtout lors de cette mémorable " soirée surprise " généreusement offerte par le CIAL à l’occasion de son 75ème anniversaire. Les organisateurs en parlaient depuis des semaines, avec une voix enrouée et mystérieuse, après s’être assurés que personne alentours ne pouvait les entendre. Jamais ils n’ont laissé filtrer quelque chose d’important.
Le secret a été parfaitement gardé jusqu'au bout. Sans doute par crainte qu’une information prématurée ne soulève un vent de panique sur le groupe, indisposant les uns et rappelant aux autres qu’ils étaient partis sans fermer le gaz.
Le car nous a déposé dans un quartier lugubre. Le genre de banlieue qui offre dès le premier contact toute la griserie d’une vie dangereuse, et où l’on rase les murs pour éviter les mauvaises rencontres à moins de vouloir pratiquer les arts martiaux. Dans une rue comme celle-là, pour avoir des partenaires, il suffit de faire semblant de sortir son portefeuille.
En apparence, cependant, la rue était vide lorsque nous sommes descendus du car. Elle était longée de murs gris, culottés par les siècles, derrière lesquels croupissaient de vieux bâtiments compliqués, luisant de crasse, qui s’enchevêtraient bizarrement, et dont aucune fenêtre ne ressemblait à l’autre.
En frissonnant, nous nous sommes engouffrés sans réfléchir davantage dans ce petit cabaret surprise choisi par le CIAL pour immortaliser à jamais ses 75 printemps. Sur le moment, le choix pouvait surprendre, mais à la réflexion le coup fut très réussi et personne n’oubliera jamais le petit cabaret surprise du 75ème anniversaire. Oh non, jamais !
Nous crûmes d’abord que l’immeuble était en cours de démolition. En fait, il l’était, mais ça n’était pas voulu et les exploitants faisaient mine de rien. Une enseigne lumineuse de Prisunic, à moitié descellée, pendait au dessus de la porte et ne luminosait plus du tout. Il était impossible de voir à l’intérieur car la vitre de la porte d’entrée, brisée par quelques balles perdues, était recouverte d’affiches de spectacles qui auraient enchanté un collectionneur spécialisé dans les années trente.
A l’intérieur, notre table prenait les trois quarts de la salle, laissant juste ce qu’il fallait de place pour deux tables supplémentaires occupées par une dizaine d’autochtones.
Pour préserver votre bonne humeur, je ne vous parlerai pas de ce que nous n’avons pas mangé. D’ailleurs, nous ne savions pas que cela pouvait se manger. On nous a apporté dans des assiettes des aliments que nous n’avions encore jamais vus et que nous ne souhaitions plus jamais revoir. Le tout était accompagné de vins français que dans leur grande sagesse ceux-ci réservent aux travailleurs de force et à l’exportation. Nous étions les arroseurs arrosés, alors nous sommes allés vider nos verres dans le caniveau ...
Au dessert, il y avait une spécialité britannique et maxévilloise : la mousse à la banane chocolatée.
Evidemment, nous ne l’avons pas mangée, nous contentant de la regarder vibrer dans nos assiettes chaque fois qu’un train passait au premier étage. Notre cabaret surprise était en effet niché sous l’arche d’un pont de chemin de fer !
Mais nous n’étions pas venus pour manger et attendions avec impatience le spectacle qui nous était promis. Ce fut unique. Quatre acteurs de toute première qualité se relayèrent pour nous faire profiter des subtilités humoristiques de la langue de Shakespeare. Ce fut très réussi. Les anglais qui occupaient les deux tables devant la scène ne cessaient de rire. Que dis-je ! Ils se tordaient de rire ! Les monologues débités par ces brillants acteurs étaient très bons car à la fin de presque chaque phrase, les anglais s'esclaffaient bruyamment.
On devinait dans les mimiques toute la finesse du texte. Une dame surtout, une anglaise je pense, hurlait de rire en se tapant sur les cuisses bien longtemps après les autres.
Dans l’ensemble, les gens du CIAL restaient très calmes. Pour une fois, le flegme français surpassait celui des britanniques. A part deux ou trois personnes initiées, notre groupe réagissait peu aux chutes humoristiques qui se déversaient sur lui en cascades. Je pense que c’est parcequ’il était surtout composé de français, ou alors d’anglais qui n’avaient jamais vécus en Angleterre, comme moi. Il était comme la cigogne (alsacienne) de La Fontaine invitée à dîner dans une écuelle par le renard britannique.
J’en ai vu se ruer sur leur guide de conversation Français-Anglais, mais sans résultats notables. Il faut être naïf pour espérer trouver quelque secours linguistique dans ce type d’ouvrage. Remarquez, je ne me moque pas d’eux. Moi-même, qui suis anglais, je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose, et j’ai eu le mauvais réflexe d’ouvrir un petit guide de conversation pour puiser quelques idées.
Qui ne s’est pas déjà tordu de rire à la lecture de ces fascicules ? La première phrase sur laquelle je suis " tombé " a été " Je suis enfermé dehors " - " I’ve locked myself out " (aïve lokte maïsèlfe aoute). Comment avais-je pu oublier que ces brochures ne sont d’aucun secours pour parler une langue, surtout dans un cabaret. Elles sont faites pour les cas désespérés. Ils disposent ici d’un choix important de phrases adaptées aux situations les plus avariées. "J’ai perdu mon passeport ". " Mes bagages ne sont pas arrivés. " " Je n’arrive pas à l’ouvrir ". " C’est bloqué ". Le véritable problème est que 98 % de ces infortunés voyageurs ont rangé leur guide de conversation dans les bagages égarés. Les 2 % restant ne peuvent être que des pessimistes bilieux qui étaient sûrs de perdre leurs bagages.
Nos pauvres touristes qui ont perdu leurs bagages, et peut-être même leur argent avec (I don’t have enough money) se retrouvent forcément dans un hôtel miteux. Le guide Berlitz, s’il n’est pas perdu avec les bagages, va les aider : " La lumière ne marche pas dans ma chambre ", " l’ascenseur est en panne " (au cas où cela vous arriverait alors que vous êtes à l’intérieur, ayez toujours un deuxième guide Berlitz dans la poche) " il n’y a pas d’eau chaude ", " il n’y a plus de papier hygiénique ", " je suis désolé, j’ai cassé le/la ... " Le guide ne dit rien de ce que vous avez cassé. Il vous laisse le choix. Si vous ne connaissez pas le mot correspondant, montrez les morceaux !
Il y a aussi, dans cet ouvrage, une dizaine de pages consacrées à un dialogue insensé entre un garagiste très patient et un chauffard inconscient dont le véhicule est dans un état lamentable. Après vous avoir fait comprendre que toutes les pièces qui composent le moteur de sa voiture sont en panne, il termine en disant qu’il repassera plus tard. Le garagiste ne bronche pas. S’il avait une once de conscience professionnelle, il empêcherait ce criminel de repartir et remorquerait immédiatement cette dangereuse épave jusqu’au cimetière de voitures le plus proche.
En revanche, il nous fut impossible de trouver la traduction de l’une de ces phrases si pratiques en Angleterre et qui nous brûlaient les lèvres en la circonstance : " Cette chose doit-elle être mangée ? " " Pourquoi y-a t’il tant de bouteilles de vinaigre sur la table ? " " Pouvez-vous m’apporter de la nourriture s’il vous plaît ? " " Pourquoi ces gens rient-ils tout le temps ? ". Non, à la place, il y avait " la chasse d’eau ne marche pas ", " il n’y a pas de bonde pour la baignoire ", autant de phrases qui n’étaient pas du tout adaptées à nos besoins.
Au bout d’un moment, un artiste anglais est venu chercher Christine, l’a amené sur la scène et lui a fait une déclaration d’amour enflammée à laquelle personne n’a rien compris sauf les deux tables devant.
Mais, pour une fois, tout le monde a bien rigolé quand même car tout le monde avait compris que Christine ne comprenait rien à ce qui lui arrivait.
Pour ma part, j’ai tremblé le reste de la soirée, de peur que ce genre de mésaventure ne m’arrive. J’ai eu chaud, car avant de quitter la scène une vieille sorcière qui ressemblait étrangement à celle qui a empoisonné Blanche Neige, est venue me caresser la joue. Alors que ses fausses verrues me griffaient la peau, j’ai nettement senti dans mon cou les fils gras de sa perruque à bon marché.
Dan j'ai pas saisi tu ne t'es pas trompé de blog ? Sinon quel voyage ...
Une seule fois ? Mais quelle fois, dis-moi, Dan !!
Pour moi, ce fut plusieurs fois Londres : avec le ferry depuis Calais, puis avec l'Eurostar ! C'est très facile, Anne... mais si tu ne parles pas, ça l'est moins, évidemment !
Quel dommage que tu n'y ailles pas, les musées sont vraiment extraordinaires... et gratuits pour la plupart !!
Il n'y a qu'une chose laissant à désirer : la nourriture...
Je suis aussi allée à Guernesey, par la route avec le ferry à Saint Malo. C'était très différent, incroyablement vert et fleuri, et calme... J'y ai bien mangé, en revanche !
Des Anglais, j'en ai beaucoup rencontré en Anjou : ils viennent sur les tombes de leurs rois Henri II Plantagenêt et Richard Coeur de Lion, enterrés à Fontevraud...
Bises, bon week-end ? Le soleil revient...
Ton article me donne envie de retourner faire un tour à Londres.
Bonne fin d'après midi et bonne fête de la musique.
Paola
Ton article me donne envie de retourner faire un tour à Londres.
Bonne fin d'après midi et bonne fête de la musique.
Paola
Je ne suis jamais allée in England, mais ça va venir ! début de l'année prochaine, mon fils, bru et petite fille partent pour 3 ans (minimum) à... Manchester...
Ca va, Lyon Manchester c'est deux heures d'avion, ce n'est pas la Guyane !
Bisous ma chère Nénette.
Bonaventure, c'était juste un com' :~))