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Livre

  • Cette semaine le thème des Impromptus littéraires : "Une semaine de...." en sept parties et 777 mots maxi......

     

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    Anne Bonaventure

    Quoi 777 mots au maximum, moi qui n’écris que de courts textes ça ne va pas « le faire » comme disent ceux qui sont bien plus jeunes que moi.
    Le lundi je me suis mise à réfléchir : « en sept parties oui une semaine j’ai le temps…. »
    Le mardi j’avais déjà oublié le thème….
    Le mercredi j’ouvre l’ordi…. (Faut pas me croire, je l’allume dès que j’ouvre les yeux et tous les jours sur mon téléphone androïde et j’ai mis le temps pour le comprendre cet animal)….
    Le jeudi je me dis encore un thème qui ne me plait pas….. Faut pas me croire non plus….
    Le vendredi je tourne dans la maison….pas petite là c’est vrai. Bibliothèque après bibliothèque je cherche mais quoi….
    Le samedi je trouve :
    Et le dimanche : je lis : « Alors Pierre s’approcha de Jésus et lui demanda : « Seigneur, combien de fois devrai-je pardonner à mon frère s’il ne cesse pas de pécher contre moi ? Jusqu’à sept fois ? »
    « Non, lui répondit Jésus, je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois ».
    Ça ne fait pas le compte j’avais bien lu 777 fois….Ah non pour les mots le calcul est différent.
    Bref toute une semaine pour réviser mes classiques.

    Où lire Anne Bonaventure

  • Une zone de turbulence - un petit texte pour les IMPROMPTUS LITTERAIRES

     

     

     

     

     

    http://www.impromptuslitteraires.fr/dotclear/

    Ce blog d'écriture existe déjà depuis des années, j'y fais un tour de temps en temps. Cela me permet d'écrire comme je le sens, sans prétention.

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    Anne Bonaventure - Turbulences

    Le lundi 3 octobre 2011 à 12:54 :: Turbulences

    Qui n’a pas eu dans sa vie une zone de turbulence.
    Celle qui nous fait chavirer,
    Celle où l’on ne sait plus qui l’on est
    Celle qui nous fait hurler, de quoi ….de plaisir,
    Pleurer, rire, mentir, se sentir défaillir…
    Une vie si calme calme plat…
    Une vie sans turbulence je ne connais pas.

  • Cette semaine le thème des Impromptus littéraires : Les choses nouées..... j'ai pris ma plume et j'ai écrit :

     

    Anne Bonaventure - Choses nouées

    Que m’arrive t-il encore ce matin ? Ma nuit a été si agitée que dès que j’ouvrais les yeux je n’arrivais plus à me rendormir.
    Des choses nouées un peu plus chaque heure n’ont fait que me tordre l’estomac. Des nœuds au ventre oui c’est ça au ventre ou dans la tête tout est encore confus.

    Mon psy lui me dit souvent qu’il faut trancher le nœud gordien. Mais duquel parle t’il ? Des nœuds j’en ai tout un paquet. Des gros des petits des sans soucis ou cent soucis, des qui font mal des qui font pleurer des qui sont attachants et ceux dont on ne veut pas se défaire. Bref ma vie est pleine de nœuds, c’est une façon de ne rien vouloir oublier ni défaire.


    Comment trancher le noeud gordien : demandez à Alexandre le Grand. (pour les curieux voir Wikipédia).

  • Reprise de ma participation aux Impromptus Littéraires.

    Anne Bonaventure - Routine

    MONOTONE AUTOMNE

    Je n’avais plus l’habitude de me lever si tôt, mais en ce moment le soleil ne se lève qu’à 7H 07. Et j’aime ce soleil de fin d’été qui me fait comprendre oui lui que la rentrée c’est déjà aujourd’hui .
    J’ouvre la fenêtre, regarde toute cette verdure ce tilleul centenaire qui déploie ses branches encore bien garnies de feuilles qui commencent à tomber. Je sens l’automne, et la reprise monotone. C’est un certain Stendhal qui a écrit « Il faut secouer la vie, autrement elle vous ronge ». Moi la vie au quotidien ça me plait. Reprendre mes petites habitudes, bien organiser ma journée, savoir qu’à telle ou telle heure je vais ….. Bref je ne vais pas tout vous dire, non , devinez…..

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  • le thème pour les Impromptus : EN ANGLETERRE

    Anne Bonaventure - En Angleterre

    Je n'y suis jamais allée, par contre j'ai suivi le couronnement de la Reine, je sais où se situe Trafalgar Square, j'ai aimé les Beatles, les Rolling Stones, j'apprécie les films romantiques, et pourquoi pas les téléfilms historiques.
    En Angleterre j'ai des amis mais s'ils ne parlent pas le français je ne peux communiquer avec eux. Mais par contre j'ai des amis anglais en France et eux parlent ma langue. J'irai bien visiter leurs musées à Londres mais déjà pour moi cela fait loin. Et puis bon ce sont des voisins et comme je l'ai dit plus haut c'est eux qui se déplacent et dans ma région je ne dis pas qu'ils pullulent mais.....Les anglais oui ont de l'humour tout le contraire de nous, je trouve. En Angleterre les paysages sont magnifiques, les jardins pleins de roses, les pubs c'est pas mon truc. Voilà j'ai fait le tour de mes connaissances je pense que je suis au-dessus de la moyenne française sans me vanter.

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  • MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES ET BONNE JOURNEE

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    MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES SI CHALEUREUX QUI ME PERMETTENT DE MIEUX VOUS CONNAITRE. A TOUS SI NOMBREUX BONNE

    JOURNEE

     

    LA REDACTRICE

  • CHAUSSURE pour les Impromptus littéraires.

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    Anne Bonaventure - Chaussure

    Par Les Impromptus, lundi 25 mai 2009 à 12:45 :: Chaussure :: #5715 :: rss

    Une certaine liberté.

    Chaussures vous avez dit chaussures ? Et j'ai plongé dans le passé.
    J'ai porté chaussettes et chaussures basses très longtemps.
    Les filles n'avaient pas droit aux pantalons et en hiver on se « caillait ».
    De plus les parents pensant à bien faire m'avaient obligée de porter des semelles....l'horreur.
    A quatorze ans j'avais des godillots d'une laideur et qui me faisaient des pieds immenses par rapport à ma svelte stature de jeune fille déjà bien grande presque une femme.
    J'en étais malade, je souffrais vraiment. J'avais beau taillader le cuir rien n'y faisait: des chaussures indestructibles.
    Une visite familiale m'avait sauvée : un oncle venu de Suède. Lui m'avait toujours eu en estime, il comprenait la jeune personne que j'étais : délicate et charmante (à part les pieds).
    Nous devions voir l'expo de Chagall et pour me faire plaisir cet oncle, qui ne venait pas d'Amérique, voulait me faire un cadeau. Devinez : « J'aimerais tant avoir des chaussures à talons Richelieu ».
    Mes premières vraies chaussures de dame avaient des talons Richelieu, un talon pas trop haut et qui me permettait de trotter tout en ayant une allure plus féminine.
    La suite : j'ai osé mettre plus tard des talons aiguilles à bout pointu, là je n'ai pas fait un bon choix, ça déforme les pieds. Donc j'en suis revenue à des chaussures toujours aussi confortable, mais dois-je tout vous dévoiler : ben oui je les collectionne les chaussures, les bottillons, les bottes, les sandales et même les chaussons. Depuis ce coup de foudre pour mes premières chaussures de dame je suis devenue une collectionneuse et ce ne sont plus mes pieds qui souffrent mais .....mon portefeuille.

  • A VOS FOURNEAUX POUR LES IMPROMPTUS LITTERAIRES

    Anne Bonaventure - A vos fourneaux

    Un souvenir pas si lointain, une cuisine comme dans une grotte, sombre, inattendue.
    L'odeur du thé à la menthe, de la pauvreté, comme l'illusion d'un autre monde, mais bien réel.
    Une femme en fichu avec un sourire figé, celui de « je te donne un verre donne-moi une pièce ». Je l'ai prise en photo comme si j'étais une touriste de plus, elle n'a pas dit non et m'a resservi un verre. Je me suis dit comment peut-on vivre ici, tout est noir, triste comme une désolation. Un souvenir d'un thé à la menthe .....un des meilleurs que je n'ai goûté.

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  • UNE PETITE MUSIQUE POUR LES IMPROMPTUS LITTERAIRES



    Anne Bonaventure - Petite musique de vie

    Le lundi 11 mai 2009 à 18:58 :: Petite musique de vie

    Je me souviens si bien de ces moments passés avec toi mon Amour de tes caresses qui m'emportaient si loin hors du monde nous étions, je me souviens si bien de tes baisers si doux si tendres mon Amour, de ces moments où nos corps pénétrés l'un de l'autre se mouvaient comme une vague de tendresse, je me souviens et toi t'en souviens-tu ? Mes souvenirs sont à l'image de cette mélodie si lointaine t'en souviens-tu mon Amour t'en souviens-tu ? Mi Amor mi Vida....où es-tu ?