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PAROLES ET MUSIQUE POUR VOUS
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MUSIQUE PAROLES......
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Un bord de mer ....et un ciel inoubliable.
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le thème pour les Impromptus : EN ANGLETERRE
Anne Bonaventure - En Angleterre
Le mardi 16 juin 2009 à 13:39 :: En Angleterre
Je n'y suis jamais allée, par contre j'ai suivi le couronnement de la Reine, je sais où se situe Trafalgar Square, j'ai aimé les Beatles, les Rolling Stones, j'apprécie les films romantiques, et pourquoi pas les téléfilms historiques.
En Angleterre j'ai des amis mais s'ils ne parlent pas le français je ne peux communiquer avec eux. Mais par contre j'ai des amis anglais en France et eux parlent ma langue. J'irai bien visiter leurs musées à Londres mais déjà pour moi cela fait loin. Et puis bon ce sont des voisins et comme je l'ai dit plus haut c'est eux qui se déplacent et dans ma région je ne dis pas qu'ils pullulent mais.....Les anglais oui ont de l'humour tout le contraire de nous, je trouve. En Angleterre les paysages sont magnifiques, les jardins pleins de roses, les pubs c'est pas mon truc. Voilà j'ai fait le tour de mes connaissances je pense que je suis au-dessus de la moyenne française sans me vanter. -
REPAS DE FIN D'ANNEE DE l'ATELIER RENAISSANCE
Comme chaque année les élèves des différents cours se réconfortent de l'arrivée des vacances autour d'un repas et comme vous pouvez le voir nous n'avons rien laissé dans les assiettes.. -
SOUVENIR SOUVENIR
En regardant dans google maps j'ai retrouvé mon école communale à PARIS, elle n'a pas changé, c'est pas comme moi....
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MAIS QUI EST-CE ?
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COMMENT NE PAS VOTER ECOLO
NOTRE TERRE NOURRICIERE EST ENTRAIN DE MOURIR IL FAUT AGIR REAGIR ELLE NOUS AIME ET NOUS DONNE TOUT D'ELLE ET NOUS QUE FAISONS NOUS POUR ELLE....
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Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage
Anne Bonaventure - Selon Virginie Lou
Par Les Impromptus, mercredi 3 juin 2009 à 19:02 :: Selon Virginie Lou :: #5772 :: rss
Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage, ce n'était pas le moment de voir la réalité en face, celle qui défigure, celle qui rend malade, celle qui rend fou.
Cela faisait des semaines et des mois qu' il attendait ces retrouvailles, mais maintenant il était certain que tout était devenu incroyable et dépassait l'inimaginable. Il savait qu'il ne pourrait survivre, pourtant le coup de fil avait dit : « Allo Monsieur Epstein, Jacques Epstein, venez vite, nous pensons avoir retrouvé votre fils ».
La silhouette décharnée qu'on lui a désignée ne pouvait être son fils, le dos courbé, le crâne rasé, rien non rien ne signifiait, ne représentait son enfant, non ce n'était pas lui.
Une erreur de plus sans visage, plus rien plus rien le néant, la vie ne signifiait plus rien.
Et il disparut à jamais dans cette nuit où il n'y avait pas de brouillard.