Vive la vie - Page 9
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ET VOUS FRANCOISE DOLTO L'APPRECIEZ VOUS ?
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POUR LES IMPROMPTUS LITTERAIRES
Anne Bonaventure - Le miroir et le diable
Par Les Impromptus, mardi 6 janvier 2009 à 16:38 :: Le miroir et le diable :: #4946 :: rss
Je l'avais rencontré la veille et il me l'avait dit cette phrase. Je suis rentré chez moi bien perplexe pourquoi me l'avait-il dit ?
Je ne pense pas être un homme imbus de sa personne, ni avoir voulu m'imposer dans mon travail, ma femme ne s'est jamais plainte, je ne pense pas connaître la vérité ou plutôt avoir raison sur tout. Non vraiment il a exagéré, mais au fait qui est ce gars un copain comme ça une vague relation, il s'est bien permis une fois de me bousculer pour passer devant moi à la cantine, mais bon c'était une blague. Mais qu'a-t-il voulu insinuer ?
J'ai pourtant l'impression de bien me connaître et n'ai nul besoin que l'on se permette .... Tout ce que je dis et fait est en accord avec mes idées qui sont bien correctes.
Je ne suis ni ange ni démon.
Jamais je ne risquerais de prendre la pente glissante qui pourrait me faire dévier....du juste chemin de l'homme parfait que je suis. Non vraiment je ne peux pas dire que je ne suis pas estimable. -
L'AVEZ-VOUS RECONNUE ?
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BEN QUOI IL NEIGE....et chez vous ?
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FAIT BIEN FRISQUET ET CHEZ VOUS ?
C'est bien joli, mais dans région très rare, demain il neigera, alors là oui franchement je n'aime pas du tout, les rues ici sont souvent pentues, et glissantes, je ne suis pas équipée .....et la gadoue après, ben quoi j'ai bien le droit de râler..... -
REVEILLON A L'HEURE AMERICAINE
Cookies obligatoires tout décorés .....Et café dans de la porcelaine de famille venant d'une Europe lointaine....Le savoir accueillir tout en chaleur et amitié de mes amis exilés dans la France profonde, peu loin de chez moi.Le village était engourdi dans le silence et le froid, mais nous avons ouvert les fenêtres en grand pour entendre les 12 coups fatals du changements d'année, leur maison donnant juste en face de l'église centre d'une vie tranquille .... -
HE OUI CA Y EST NOUS Y SOMMES ALORS TRES TRES BONNE ANNEE A TOUS
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A TOUS
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LES IMPROMPTUS LITTERAIRES NOUS ONT PROPOSE D'ECRIRE UN CONTE DE NOEL EN DEUX PARTIES
Anne Bonaventure - Conte de Noël, première partie
Par Les Impromptus, lundi 22 décembre 2008 à 12:00 :: Conte de Noël, première partie :: #4892 :: rss
Il ne savait plus où il était. Après sa fuite, il avait pris la direction de la zone libre, mais n'en connaissant pas vraiment les contours, il marchait jour et nuit ne se reposant qu'à l'abri soit dans un chemin creux, une étable abandonnée.
L'hiver s'était installé, il avait pu dérober manteau et gants. Il se demandait s'il avait bien pris le Chemin de Compostelle, mais bon ce n'était plus le moment de penser à cette route qui mène à Dieu à ce que certains disent. L'heure était bien plus grave, l'ennemi avait frappé, un jour reverrait-il ses proches ?
Marche, marche.....
Le cuir de ses godasses avaient déjà entaillé ses pieds, c'est ce qui était le plus dur à supporter. La faim le tenaillait.
Fallait-t-il qu'il parte comme cela sans un adieu? Sur la route il en était persuadé, tout n'était que désolation. Heureusement qu'il était déjà grand, ses parents venait juste de lui fêter ses dix ans. Sa mère lui avait offert ce livre sur le Bon Chemin qu'elle avait dit. Il l'avait écoutée oui il en était persuadé.....Maman j'ai si froid, maman j'ai si peur, maman je t'aime ce n'était pas une chanson mais une plainte qui l'accompagnait toute la journée. Quand il s'approchait des fermes l'accueil était varié, de méfiance à pitié, certains lui donnaient une miche de pain noir, quelques fruits secs..... Je veux vivre se disait-il je dois vivre maman me l'a dit.
En arrivant à Vezelay, il pensait qu'il était loin de la capitale ......(La Maison du Visiteur Vézelay)Anne Bonaventure - Conte de Noël, deuxième partie
Par Les Impromptus, lundi 29 décembre 2008 à 12:00 :: Conte de Noël, deuxième partie :: #4893 :: rss
Mais ici personne ne répondait, il avait beau frapper à chaque porte, personne. La basilique même n'ouvrait plus ses portails; si belle soit-elle.
Où dois-je aller dis-moi maman ?
Ce ne fût pas maman mais une très vieille dame qui apparut, une paysanne qui apportait du lait au prieuré.
En le voyant errer sur le parvis elle reconnut en lui l'enfant perdu. Elle le prit par la main, sentit ses doigt glacés les frotta, embrassa son front brûlant, le serra contre elle, et lui dit : Viens mon petit nous t'attendions.....Quel fût sa joie en arrivant dans cette humble chaumière de voir près du feu ses parents oui c'est comme cela que Noël se révèle : le plus beau cadeau n'est-ce pas celui de la Vie ?
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HE OUI MOI AUSSI J'AI REVEILLONNE ET JE N'ETAIS PAS SEULE....PETITE REUNION DE FAMILLE POUR NOEL