Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

PENSEES VAGABONDES - Page 14

  • SOUVENIR SOUVENIR


    Agrandir le plan

    En regardant dans google maps j'ai retrouvé mon école communale à PARIS, elle n'a pas changé, c'est pas comme moi....

  • MAIS QUI EST-CE ?

    la-parisienne.jpg

  • COMMENT NE PAS VOTER ECOLO



    NOTRE TERRE NOURRICIERE EST ENTRAIN DE MOURIR IL FAUT AGIR REAGIR ELLE NOUS AIME ET NOUS DONNE TOUT D'ELLE ET NOUS QUE FAISONS NOUS POUR ELLE....



  • Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage

    Anne Bonaventure - Selon Virginie Lou

    DSCN2363.JPG
    Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage, ce n'était pas le moment de voir la réalité en face, celle qui défigure, celle qui rend malade, celle qui rend fou.
    Cela faisait des semaines et des mois qu' il attendait ces retrouvailles, mais maintenant il était certain que tout était devenu incroyable et dépassait l'inimaginable. Il savait qu'il ne pourrait survivre, pourtant le coup de fil avait dit : «  Allo Monsieur Epstein, Jacques Epstein, venez vite, nous pensons avoir retrouvé votre fils ».
    La silhouette décharnée qu'on lui a désignée ne pouvait être son fils, le dos courbé, le crâne rasé, rien non rien ne signifiait, ne représentait son enfant, non ce n'était pas lui.
    Une erreur de plus sans visage, plus rien plus rien le néant, la vie ne signifiait plus rien.
    Et il disparut à jamais dans cette nuit où il n'y avait pas de brouillard.
  • MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES ET BONNE JOURNEE

    paul_delvaux_gallery_11.jpg

    MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES SI CHALEUREUX QUI ME PERMETTENT DE MIEUX VOUS CONNAITRE. A TOUS SI NOMBREUX BONNE

    JOURNEE

     

    LA REDACTRICE

  • WILLIAM BLAKE OUI J'AIME

    William Blake (1757-1827), le génie visionnaire du romantisme anglais

    Pour la première fois en France, le Petit Palais présente une rétrospective très complète de William Blake, le plus romantique des peintres anglais. Initiée par le musée de la Vie romantique. Cet hommage veut rendre justice à celui qui fût à la fois un poète visionnaire et un graveur d’exception. Du 2 avril au 28 juin, du mardi au dimanche de 10h à 18h . Exposition fermée les lundis et jours fériés, nocture le jeudi jusqu'à 20h .  Tarif 8€ - Tarif réduit 6€ - Demi-tarif 4€ - Gratuit jusqu'à 13 ans inclus - Accessible aux personnes handicapées.

    » Découvrir la galerie photo

     


    Près de deux siècles après sa mort, Blake s’inscrit au sommet du génie britannique. Quelques 130 œuvres, exceptionnellement prêtées par les principaux musées d’outre manche, affirment l’intensité de son inspiration, applaudie en France par André Gide avant André Breton et les surréalistes.

     

    William Blake est le plus célèbre mais aussi le plus secret des génies d’Outre-Manche. Mieux qu’aucun autre, Blake exprime l’inspiration hallucinée propre au romantisme anglais.

    A l’instar de Newton, l’une de ses plus célèbres compositions, Blake inscrit l’homme dans un cercle céleste au milieu des nuées, le mesure et se mesure à l’univers cosmique à l’aune d’un compas.

    Intransigeant, excentrique, solitaire, Blake proclame avec éclat son exaltation passionnée. Il privilégie jusqu’au vertige le trait néoclassique pour nourrir les pages les plus héroïques de la Bible et de Shakespeare comme de Milton et de la Divine
    Comédie de Dante.

    « L’inspiration et la vision étaient, sont et seront toujours, j’espère, mon Elément, mon Refuge éternel »
    William Blake

     

    L’exposition du Petit Palais est la première rétrospective en France, organisée en partenariat avec le musée de la Vie romantique, avec la collaboration de Michael Phillips, commissaire invité.

    Elle regroupe quelques cent cinquante dessins, gravures, enluminures, livres et aquarelles exceptionnellement prêtés par les principaux musées britanniques : Fitzwilliam Museum (Cambridge), British Museum, British Library, Tate, Victoria & Albert Museum (Londres), City Art Gallery (Birmingham), National Gallery of Scotland (Edimbourg), University Library (Glasgow), City Art Gallery et Whitworth Art Gallery (Manchester), Bodleian Library (Oxford), de quelques collectionneurs privés ainsi que par le musée du Louvre et le Philadelphia Museum of Art.

  • ENCORE DES FRISSONS POUR NE JAMAIS OUBLIER

    En pensant à ce "certain" qui pour lui ce ne fût qu'un "détail"......

     

     

  • MA BALADE EN VENDEE

  • CHAUSSURE pour les Impromptus littéraires.

    magritte magique.gif
    Anne Bonaventure - Chaussure

    Par Les Impromptus, lundi 25 mai 2009 à 12:45 :: Chaussure :: #5715 :: rss

    Une certaine liberté.

    Chaussures vous avez dit chaussures ? Et j'ai plongé dans le passé.
    J'ai porté chaussettes et chaussures basses très longtemps.
    Les filles n'avaient pas droit aux pantalons et en hiver on se « caillait ».
    De plus les parents pensant à bien faire m'avaient obligée de porter des semelles....l'horreur.
    A quatorze ans j'avais des godillots d'une laideur et qui me faisaient des pieds immenses par rapport à ma svelte stature de jeune fille déjà bien grande presque une femme.
    J'en étais malade, je souffrais vraiment. J'avais beau taillader le cuir rien n'y faisait: des chaussures indestructibles.
    Une visite familiale m'avait sauvée : un oncle venu de Suède. Lui m'avait toujours eu en estime, il comprenait la jeune personne que j'étais : délicate et charmante (à part les pieds).
    Nous devions voir l'expo de Chagall et pour me faire plaisir cet oncle, qui ne venait pas d'Amérique, voulait me faire un cadeau. Devinez : « J'aimerais tant avoir des chaussures à talons Richelieu ».
    Mes premières vraies chaussures de dame avaient des talons Richelieu, un talon pas trop haut et qui me permettait de trotter tout en ayant une allure plus féminine.
    La suite : j'ai osé mettre plus tard des talons aiguilles à bout pointu, là je n'ai pas fait un bon choix, ça déforme les pieds. Donc j'en suis revenue à des chaussures toujours aussi confortable, mais dois-je tout vous dévoiler : ben oui je les collectionne les chaussures, les bottillons, les bottes, les sandales et même les chaussons. Depuis ce coup de foudre pour mes premières chaussures de dame je suis devenue une collectionneuse et ce ne sont plus mes pieds qui souffrent mais .....mon portefeuille.