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Une mère au pied du mur
L'histoire vraie d'une Allemande de l'Est qui veut récupérer ses enfants (vous pouvez voir la bande annonce).
Ce film je l'ai vu hier sur Arte. J'ai été boulversé par le combat de cette femme qui voulait passer à l'ouest, qui a été emprisonnée. Ses enfants lui ont été enlevés. Elle a eu un combat exemplaire.
Les informateurs étaient légions. La Stasi avait tout pouvoir. Ce film est tiré de la vie de Jutta Gallus. Interdite d'université parce que son père était passé à l'ouest
Cette femme a combattu pour la liberté. Nous la voyons dans le film s'acharner à récupérer ses filles, au Chekpoint Charlie, un carton autour du cou. On a voulu l'écraser, la tuer, la détruire.
Celà renvoie à d'autres désarrois ceux de maintenant ou d'une autre époque.
J'admire le courage.
Bravo à Arte de faire des films qui dévoilent la réalité de nos voisins. Ne pensons pas que l'homme est bon, surtout dans des sociétés fanatiques.
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Comme quoi la nature prend toujours le dessus.
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UN PEU DE LECTURE NE FAIT PAS DE MAL
Cliquez ici pour lire mon dernier texte pour les Impromtus
et là pour celui de Paroles Plurielles
Bonne lecture aux curieux....et merci pour vos commentaires.
1)" L'année de mes 14 ans"
2) "Je lui ai dit de se taire" + photo à voir.....
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Pour tout savoir sur cet animal genre "rasta"....
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vous le connaissez celui-là.....
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Mais à quoi pense-t'il ?
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Faits de société....
Hier à mon dernier cours j'ai pu constater encore une fois de plus de la condition de mes contemporains, ici "raines"....
Sur 3 élèves : 1 veuve et deux divorcées. Je sais que la vie à deux n'est pas facile loin de là, mais je suis encore étonnée de ce qui se passe autour de moi de nous. Tant de gens se déchirent, arrivent au bout de 5, 10, 20, 30 ans voir plus de vie commune, avec ou sans enfants à ne plus pouvoir vivre ensemble.
Bien sûr la soumission de l'un ou l'autre des partenaires n'est pas acceptable, le respect doit prévaloir dans le couple.....Mais c'est affolant tout de même. Je ne parle que du divorce ici.
Autour de moi aussi les veuves émergent, de tout âges. Alors là c'est terrible. La période de deuil est un moment de trou noir, où étrangement l'on respire si le conjoint décède d'une grave maladie. Mais où les nuits sont tristes et tourmentées. Le repli sur soi est souvent inévitable. Les remises en questions de la Vie font souffrir : "dois-je continuer seule". Le soutien des enfants est appréciable. Mais....Je sais bien que les enfants ne font pas tout. Ils font partie de nous, mais nous devons apprendre à vivre sans eux. Je dis nous : les femmes bien sûr.
Je pense aux plus jeunes femmes aussi qui débutent leur vie amoureuse, maritale....quel peut être le soutien de leurs parents.....
bien difficile tout ça , ne trouvez-vous pas ?
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Hé oui c'était les Journées du Patrimoine....
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Nouveau thème sur les Impromptus littéraires : Le parfum des livres.
Anne Bonaventure - Le parfum des livres
Le lundi 17 septembre 2007 à 11:11 :: Le parfum des livres
Dès que j'ai lu le thème j'ai pensé spontanément aux différents parfums que dégagent les bouquins: à ceux de mon enfance, ceux des bibliothèques de mon adolescence (oui les livres là étaient particulièrement bien recouverts de tissus vert ou grenat, souvent d'anciennes éditions), ainsi qu'aux Simenon trouvés dans le grenier sentant l'humidité.
Le parfum des livres à part ceux olfactifs est celui qui émane plutôt de leur lecture. Le parfum qui vous suit toute la journée celui de l'ambiance, du récit. Le parfum qui vous reste après avoir fermé la dernière page, parfum-souvenir.
Un livre en particulier a eu cet effet de « bonne odeur » : « l'Amour soudain de Aharon Appelfeld. Les liens qui se tissent de jours en jours, d'heure en heure entre une jeune femme et un homme âgé .
Lui au travers de l'écriture essaie de retrouver des souvenirs enfouis qui petit à petit ont le pouvoir de guérir son âme. Leurs échanges se font au travers de la nourriture, de quelques mots, de souvenirs qui s'entrecroisent.
Se tisse au fur et à mesure une amitié-amoureuse. J'ai apprécié ce parfum de livre dans lequel j'ai pu trouvé du plaisir, dans l'évolution de cet amour inattendu. Ambiance de senteurs, de goûts ,de rêves. Un parfum de plaisir. Même si la mort est apparue. Etonnant.Autant de parfums que de livres. Celui qui émane de ceux que nous apprécions et aussi de ceux que nous ne pouvons terminer, quelques pages lues et là un parfum se dévoile être épouvantable. Basta je le mets de côté. Il n'a pas embaumé ma vie.
Parfois je me force : allez un petit parfum celui de la nostalgie : « Le miroir de ma mère » de Marthe et Philippe Delerm. Ce parfum là je ne l'ai pas apprécié vraiment, mais je voulais le sentir et voir jusqu'où je le supporterai: les dernières lignes m'ont fait penser que bon son parfum pouvait être acceptable. J'avais lu quelques mois auparavant « La bulle de Tiepolo » très léger celui-là.....comme on dit « pas prise de tête ».
Nous avons tous des parfums-souvenirs de lecture extraordinaire. Mais quand je vois la pile de livres lus ces derniers mois je peux dire que bien peu m'ont laissé un parfum inoubliable....