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Par Les Impromptus, lundi 10 novembre 2008 à 09:17 :: Tout est musique :: #4639 :: rss
Chaque pas que je fais, tu me suis ou me devances.
Tu auréoles ma tête, et saisis mon âme.
Je ne peux t'oublier.
Sans toi que deviendrai-je ?
Toi qui des temps passés apparaît quand je le désire.
Tu m'engouffres dans tes profondeurs.
Je ne peux te quitter.
Musique aimée.
Notre rencontre fût découverte, et tu ne m'as plus quittée.
Tu règnes dans ma discothèque.
Les yeux fermés je suis avec toi.
Fidèle amour musique préférée éternelle tu es.
Par Les Impromptus, lundi 3 novembre 2008 à 08:50 :: C'est par où :: #4602 :: rss
Il ne savait plus quelle direction prendre et regardait tout azimut, le temps pressait et il essayait de se calmer, de se souvenir.
Son but pensait-il était bien de quitter la contrée infestée.
Il avait marché dans les collines si longtemps.
Affamé il était.
Ses souvenirs : un fouillis qui ne faisait que l'embrouiller de plus en plus; et il sombrait dans la déraison : pour lui il n'y avait plus qu'une solution faire demi-tour.
Mais quel chemin prendre? Quel chemin mène donc à la liberté ?
Le mardi 28 octobre 2008 à 12:50 :: La rondeur des jours
Je les voyais dans les tranchées, pieds dans la boue, dans l'eau, froid pénétrant, la vomissure, gangrène galopante, dégoulinants de sueur, de terreur, et là dans ce caniveau de l'inhumanité il n'y avait qu'une seule rondeur : le temps effrayant qui tourne lentement pour comme ineluctable aboutir à la mort.....
Je sais c'est pas très gai mais la vie n'est pas que joie plaisir et satisfaction elle est aussi ce que l'on en fait ou ce qu'ils en font ou feront.....
DELPHINE SEYRIG LE LYS DANS LA VALLEE - BALZAC