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vive la vie - Page 4

  • Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage

    Anne Bonaventure - Selon Virginie Lou

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    Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage, ce n'était pas le moment de voir la réalité en face, celle qui défigure, celle qui rend malade, celle qui rend fou.
    Cela faisait des semaines et des mois qu' il attendait ces retrouvailles, mais maintenant il était certain que tout était devenu incroyable et dépassait l'inimaginable. Il savait qu'il ne pourrait survivre, pourtant le coup de fil avait dit : «  Allo Monsieur Epstein, Jacques Epstein, venez vite, nous pensons avoir retrouvé votre fils ».
    La silhouette décharnée qu'on lui a désignée ne pouvait être son fils, le dos courbé, le crâne rasé, rien non rien ne signifiait, ne représentait son enfant, non ce n'était pas lui.
    Une erreur de plus sans visage, plus rien plus rien le néant, la vie ne signifiait plus rien.
    Et il disparut à jamais dans cette nuit où il n'y avait pas de brouillard.
  • MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES ET BONNE JOURNEE

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    MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES SI CHALEUREUX QUI ME PERMETTENT DE MIEUX VOUS CONNAITRE. A TOUS SI NOMBREUX BONNE

    JOURNEE

     

    LA REDACTRICE

  • WILLIAM BLAKE OUI J'AIME

    William Blake (1757-1827), le génie visionnaire du romantisme anglais

    Pour la première fois en France, le Petit Palais présente une rétrospective très complète de William Blake, le plus romantique des peintres anglais. Initiée par le musée de la Vie romantique. Cet hommage veut rendre justice à celui qui fût à la fois un poète visionnaire et un graveur d’exception. Du 2 avril au 28 juin, du mardi au dimanche de 10h à 18h . Exposition fermée les lundis et jours fériés, nocture le jeudi jusqu'à 20h .  Tarif 8€ - Tarif réduit 6€ - Demi-tarif 4€ - Gratuit jusqu'à 13 ans inclus - Accessible aux personnes handicapées.

    » Découvrir la galerie photo

     


    Près de deux siècles après sa mort, Blake s’inscrit au sommet du génie britannique. Quelques 130 œuvres, exceptionnellement prêtées par les principaux musées d’outre manche, affirment l’intensité de son inspiration, applaudie en France par André Gide avant André Breton et les surréalistes.

     

    William Blake est le plus célèbre mais aussi le plus secret des génies d’Outre-Manche. Mieux qu’aucun autre, Blake exprime l’inspiration hallucinée propre au romantisme anglais.

    A l’instar de Newton, l’une de ses plus célèbres compositions, Blake inscrit l’homme dans un cercle céleste au milieu des nuées, le mesure et se mesure à l’univers cosmique à l’aune d’un compas.

    Intransigeant, excentrique, solitaire, Blake proclame avec éclat son exaltation passionnée. Il privilégie jusqu’au vertige le trait néoclassique pour nourrir les pages les plus héroïques de la Bible et de Shakespeare comme de Milton et de la Divine
    Comédie de Dante.

    « L’inspiration et la vision étaient, sont et seront toujours, j’espère, mon Elément, mon Refuge éternel »
    William Blake

     

    L’exposition du Petit Palais est la première rétrospective en France, organisée en partenariat avec le musée de la Vie romantique, avec la collaboration de Michael Phillips, commissaire invité.

    Elle regroupe quelques cent cinquante dessins, gravures, enluminures, livres et aquarelles exceptionnellement prêtés par les principaux musées britanniques : Fitzwilliam Museum (Cambridge), British Museum, British Library, Tate, Victoria & Albert Museum (Londres), City Art Gallery (Birmingham), National Gallery of Scotland (Edimbourg), University Library (Glasgow), City Art Gallery et Whitworth Art Gallery (Manchester), Bodleian Library (Oxford), de quelques collectionneurs privés ainsi que par le musée du Louvre et le Philadelphia Museum of Art.

  • ENCORE DES FRISSONS POUR NE JAMAIS OUBLIER

    En pensant à ce "certain" qui pour lui ce ne fût qu'un "détail"......

     

     

  • CHAUSSURE pour les Impromptus littéraires.

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    Anne Bonaventure - Chaussure

    Par Les Impromptus, lundi 25 mai 2009 à 12:45 :: Chaussure :: #5715 :: rss

    Une certaine liberté.

    Chaussures vous avez dit chaussures ? Et j'ai plongé dans le passé.
    J'ai porté chaussettes et chaussures basses très longtemps.
    Les filles n'avaient pas droit aux pantalons et en hiver on se « caillait ».
    De plus les parents pensant à bien faire m'avaient obligée de porter des semelles....l'horreur.
    A quatorze ans j'avais des godillots d'une laideur et qui me faisaient des pieds immenses par rapport à ma svelte stature de jeune fille déjà bien grande presque une femme.
    J'en étais malade, je souffrais vraiment. J'avais beau taillader le cuir rien n'y faisait: des chaussures indestructibles.
    Une visite familiale m'avait sauvée : un oncle venu de Suède. Lui m'avait toujours eu en estime, il comprenait la jeune personne que j'étais : délicate et charmante (à part les pieds).
    Nous devions voir l'expo de Chagall et pour me faire plaisir cet oncle, qui ne venait pas d'Amérique, voulait me faire un cadeau. Devinez : « J'aimerais tant avoir des chaussures à talons Richelieu ».
    Mes premières vraies chaussures de dame avaient des talons Richelieu, un talon pas trop haut et qui me permettait de trotter tout en ayant une allure plus féminine.
    La suite : j'ai osé mettre plus tard des talons aiguilles à bout pointu, là je n'ai pas fait un bon choix, ça déforme les pieds. Donc j'en suis revenue à des chaussures toujours aussi confortable, mais dois-je tout vous dévoiler : ben oui je les collectionne les chaussures, les bottillons, les bottes, les sandales et même les chaussons. Depuis ce coup de foudre pour mes premières chaussures de dame je suis devenue une collectionneuse et ce ne sont plus mes pieds qui souffrent mais .....mon portefeuille.

  • A VOS FOURNEAUX POUR LES IMPROMPTUS LITTERAIRES

    Anne Bonaventure - A vos fourneaux

    Un souvenir pas si lointain, une cuisine comme dans une grotte, sombre, inattendue.
    L'odeur du thé à la menthe, de la pauvreté, comme l'illusion d'un autre monde, mais bien réel.
    Une femme en fichu avec un sourire figé, celui de « je te donne un verre donne-moi une pièce ». Je l'ai prise en photo comme si j'étais une touriste de plus, elle n'a pas dit non et m'a resservi un verre. Je me suis dit comment peut-on vivre ici, tout est noir, triste comme une désolation. Un souvenir d'un thé à la menthe .....un des meilleurs que je n'ai goûté.

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  • C'ETAIT LA FETE RUE DU MAILLOCHON MAIS....

    Il a plu et alors : une fête à l'eau ou presque j'ai mis deux affiches ai mangé un bout du méchoui avec des mogettes et suis remontée faire la sieste

    CIMG3157.JPGAu fond notre nouveau Maire toujours présent pour les fêtes de quartier même par mauvais temps.

    CIMG3159.JPGv'là les bêtes....

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    Fallait bien des animations faisait pas bien chaud mais elles "dansaient"....
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    Comme vous pouvez le constater la rue était encore en réfection et comme il a plu nous avions les pieds dans la boue, chouette....
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    Cela n'a pas empêcher les riverains de boire et manger.....C'est comme ça la fête.
    Petit rappel c'était "MON VOISIN EST UN ARTISTE" ne vous y méprenez pas tous ne le sont pas.

    :

  • UNE PETITE MUSIQUE POUR LES IMPROMPTUS LITTERAIRES



    Anne Bonaventure - Petite musique de vie

    Le lundi 11 mai 2009 à 18:58 :: Petite musique de vie

    Je me souviens si bien de ces moments passés avec toi mon Amour de tes caresses qui m'emportaient si loin hors du monde nous étions, je me souviens si bien de tes baisers si doux si tendres mon Amour, de ces moments où nos corps pénétrés l'un de l'autre se mouvaient comme une vague de tendresse, je me souviens et toi t'en souviens-tu ? Mes souvenirs sont à l'image de cette mélodie si lointaine t'en souviens-tu mon Amour t'en souviens-tu ? Mi Amor mi Vida....où es-tu ?