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PENSEES VAGABONDES - Page 7

  • UNE EXPO A NE PAS LOUPER un artiste que j'aime DAVID HOCKNEY

     

    Exposition

    David Hockney : Fleurs fraîches

    Dessins sur iPhone et iPad

    du 20 octobre 2010 au 30 janvier 2011

     

    La Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent consacre sa 14ème exposition à l'artiste britannique David Hockney. L'exposition regroupera plus de 200 oeuvres récentes réalisées par l'artiste sur iPhone et iPad. La présentation des oeuvres sur ces supports respectera le concept original d'images lumineuses et colorées voulu par l'artiste.

     

    Commissaire Charlie Scheips

    Scénographe Ali Tayar

     

    Téléchargez le dossier de presse en cliquant ici.

     

    Exposition à la Fondation Pierre Bergé - Yves Saint Laurent

    du 20 octobre 2010 au 30 janvier 2011

     

    Entrée de l'exposition au 3, rue Léonce Reynaud, Paris 16ème

    Ouvert du mardi au dimanche, sauf jours fériés

    De 11h00 à 18h00 (dernière entrée à 17h30)

    Tél. : +33 (0) 1 44 31 64 31

    Accessible aux personnes handicapées

     

    Plein tarif : 5€

    Tarif réduit : 3€ (Etudiants, moins de 25 ans, Carte Senior - sur présentation d’un justificatif)

    Gratuit pour les moins de 10 ans et les demandeurs d’emploi

  • ERIC STRAW un artiste qui crée dans ma ville et qui est super

    http://www.ericstraw.com/

    http://www.ericstraw.com/default.htm

    227, Théâtre de l'Amour 1, détail 227, Théâtre de l'Amour 1-78X80cm, 2006 229 Théâtre de l'Amour 2, détail, 2006.


    Jouez avec nous - Play with us !!

    mode d'emploi

    Memo



    jeu 1 - Jeu 2 - jeu 3 - Jeu 4
    Puzzle



    jeu 1 - Jeu 2 - jeu 3 - Jeu 4
    jeu 5 - Jeu 6 - jeu 7 - Jeu 8
         
    Memo-duo




    jeu 1 - Jeu 2 - jeu 3 - Jeu 4
       
    Sudoku


    http://www.ericstraw.com/default.htm

  • Devinette : Savez-vous qui c'est ?

    57_eloisemenu.jpg - 28.5 K

  • A VOIR LA VIDEO de ce Village Joie à Madagascar.

    Un couple d'amis ont monté ce village d'accueil en pleine campagne malgache. Regardez cette vidéo et s'il vous reste quelques sous vous pouvez les aider. Je les connais depuis vingt ans. Ils ont été attaqués par une bande armée qui a pillé tout leur matériel informatique et téléphonique, ils risquent leurs vies.

    Je les admire ils sont en plein dans la réalité de la vie et de la survie, ils ont besoin de nous tous. Merci pour eux.

  • Le petit caniche de Mamita s'est perdu si vous le retrouvez vous avez les coordonnées ci-dessous.

    26/09/2010

    TWIST EST PERDU

    Pendant que tout le monde pensait que je passais de superbes vacances en Croatie

    Il n'en était rien

    Twist notre caniche s'est échappé deux jours aprés notre départ

    Il s'est enfuit de Pélissanne 13330

    Nous l'avons cherché pendant vingt jours en vain

    Nous avons fait des affiches vu la SPA les vétérinaires la police municipale

    les pompiers les mairies mais rien

    La mobilisation des habitants de Pélissanne ll n'y a pas de mots pour les décrire

    d'une gentillesse d'une disponibilité

    On nous a même prêté une voiture pour sillonner les environs ce que nous avions déjà fait en camping-car

    Si jamais quelqu'un lis ce blog et sait où a vu Twist chez quelqu'un, se mettre en rapport avec ce site

    http://www.chien-perdu.org

    Merci à tous de votre amitié

    mais vous comprendrez qu'en ce moment je n'ais envie de rien

    Je vous retrouverais trés bientôt

    mamita !!!!!!!!!!!

    P S

    Si d'autres personnes veulent mettre cette note

    sur leur blog peut-être cela ferait-il avancer les choses

    bonne idée de Peggy

    merci à tous

     

    soliflore 552.jpg

  • L'ATELIER RENAISSANCE A PARTICIPE A LA JOURNEE DES ASSOCIATIONS A POITIERS

     

    CIMG4085.JPG

    Ca y est la Journée est terminée, j'y ai pris part.......Il a fait frisquet.

     

  • Une chanteuse un musicien de quoi rester admirative et émue.

    Heitor Villa-Lobos

     

    UNE GUITARE EN AMERIQUE DU SUD…

    …Une Guitare pour voyager à travers la Musique traditionnelle indienne jusqu’à :


    HEITOR VILLA-LOBOS

    UNE LEGENDE DE LA MUSIQUE DU XXe SIECLE

    L’INDIEN BLANC (1887-1959)



    1887 Le 5 mars naît à Rio de Janeiro une légende de la musique du XXe siècle surnommé « L’Indien Blanc » : Heitor Villa-Lobos grand maître de la musique classique brésilienne.

    Les origines indiennes de sa mère ainsi que sa propre philosophie sont certainement la raison de ce surnom qu’il se donnait lui-même. Villa-Lobos a écrit de nombreuses œuvres d’inspiration indienne comme « 3 poèmes indiens » « danses des indiens métis » « chansons typiques brésiliennes depuis des chants indiens » « Amazonas, poème indien ». Raul, son père, est professeur et fonctionnaire à la bibliothèque nationale de Rio de Janeiro. Il est l’auteur de livres d’histoire et de cosmographie (description des systèmes astronomiques de l’univers). Il est aussi musicien. Il enseigne à son fils la clarinette et le violoncelle. Heitor apprend à jouer de la guitare en cachette avec les choros (groupe de musiciens populaires).


    Les rencontres entre amis instrumentistes qu’organisent ses parents à leur domicile font baigner le « petit Heitor » dans une formidable atmosphère musicale.

    1899 Au décès de son père, Villa-Lobos a 12 ans. Il joue alors dans les choros, ce qui lui était interdit du vivant de son père qui faisait partie de la bourgeoisie brésilienne.

    1905 A 18 ans, il fait un premier voyage exceptionnel dans le nord-est du Brésil. Il est très intéressé par les musiques qu’il découvre. Il fait des relevés de tout ce qu’il entend et qui, plus tard, lui serviront de source d’inspiration pour élever cette musique du peuple au rang de « grande musique » au même titre qu’un Brahms, Borodine, Bartok et tous ces grands maîtres qui ont puisé dans la richesse de l’art populaire. Heitor est par contre très déçu par les musiques qu’il entend dans le sud trop influencées par les immigrants européens. Ayant très souvent fait des études musicales en Europe, les autres compositeurs brésiliens se contentent de reproduire les œuvres en vogue sur le vieux continent.

    A cette époque, Paris est la capitale mondiale de la culture. Le rêve parisien était dans toutes les âmes brésiliennes. C’est la grande force de Villa-Lobos d’avoir voulu exploiter et magnifier les immenses ressources musicales de son pays. Artiste visionnaire, il avait bien compris la richesse du métissage des trois races qui composaient l’âme brésilienne :
    • L’Indien,
    • Le Blanc (essentiellement portugais),
    • Le Noir (descendant d’esclave).


    L’Indien amenait dans sa musique les mélopées nostalgiques, plaintives. Le Blanc apportait la technique, la science musicale très développée à cette époque et les différentes influences :

    • françaises des comptines enfantines
    • argentines des tangos
    • portugaises des fados
    • allemandes de Jean-Sébastien Bach (compositeur préféré de Villa-Lobos dont on retrouve l’inspiration dans « les bacchianas »)…

    Le Noir ajoutait les extraordinaires rythmes africains.

    1907 Heitor s’inscrit à l’institut national de musique en classe d’harmonie. Son esprit peu académique ne peut se satisfaire de cet enseignement. Il quitte l’institut. Plus tard, en 1924, lors de son installation à Paris, il tentera une nouvelle fois de suivre les cours d’harmonie du célèbre Paul Dukas (compositeur de « l’apprenti sorcier ») professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique. Le dogmatisme de ce type de cours réduit sa créativité et anéantit la liberté de sa formidable inspiration. Il quitte à nouveau le Conservatoire.

    1915 Il débute à Rio une série de concerts dédiés à ses œuvres. Il déchaîne la critique.

    1922 Une semaine d’Art Moderne est organisée dans une atmosphère de scandale à São Paulo. Villa-Lobos exacerbe les passions négatives.

    « Nul n’est prophète en son pays ».

    C’est de Paris que viendra la consécration… Sa musique commence tout de même à franchir les frontières et attire les visiteurs étrangers, comme Darius Milhaud alors secrétaire de Paul Claudel.

    Le célèbre pianiste Arthur Rubinstein sera son mentor ; il lui ouvrira toutes les portes nécessaires à la réussite.

    Le célèbre éditeur français Max Eschig achèvera ce travail pour la reconnaissance de ce génie en publiant la quasi-totalité de son œuvre.

    Dès 1924, Heitor doué d’une force d’attraction, de séduction qu’il conservera toute sa vie, fréquente de nombreux artistes reconnus tels que les musiciens Jean Wiener, Florent Schmitt, Edgard Varèse ou les peintres Fernand Léger, Pablo Picasso et tant d’autres…


    1930 A la demande du gouverneur, il s’installe à São Paulo pour organiser l’étude de la musique dans les écoles. La violence de ses propos : « le football a fait dévier l’intelligence humaine de la tête aux pieds » lui valent des déboires. Il devient néanmoins directeur de l’Education Musicale du Brésil et compose l’hymne national. Il est le premier à diriger des concerts gigantesques dans les stades (Maracaña de Rio) avec des dizaines de milliers de choristes et musiciens.

    1939-1940 Il écrit les 5 préludes dédiés à « Mindinha » diminutif de Arminda Neves de Almeida, sa deuxième femme qui fut pour lui, jusqu’à sa mort, une compagne d’un dévouement sans faille (un sixième Prélude n’a pas été retrouvé). En 1980, le compositeur Del Gado a écrit une œuvre qu’il a intitulée : le sixième Prélude de Heitor Villa-Lobos « hommage au vénérable maître brésilien ».

    1943 Il devient Docteur Honoris Causa de l’Université de New-York.

    1948 Malgré les premiers symptômes d’un cancer, il poursuit ses intenses activités musicales.

    1956 Le 10 mars sa mère décède.

    1958 Il reçoit à Paris le Grand Prix du Disque.

    1959 Le 17 novembre disparaît l’un des « phares » de notre temps : l’Indien Blanc, HEITOR VILLA-LOBOS… un géant dont l’image est inséparable de celle du Brésil.

    1987 fut l’année du centenaire de la naissance de Heitor. La présidence du comité qui s’est constitué en France pour la célébration de cet anniversaire revient au compositeur Marcel Landowski, fils du sculpteur Paul Landowski à qui nous devons la célèbre statue du Christ du Corcovado dominant la baie de Rio de Janeiro.


    Villa-Lobos a été toute sa vie un infatigable travailleur (le musée Villa-Lobos au Brésil a édité un catalogue de ses œuvres comprenant …334 pages !!!). Malgré ses origines bourgeoises, il s’est mélangé, identifié à la diversité du peuple brésilien.

    Par l’œuvre immense et profonde unissant toutes les cultures de son pays, du monde, véritable ode contre le racisme ;

    Par l’effort de sa pédagogie pour développer le niveau culturel du peuple brésilien, sans distinction de race ou de classe sociale ;

    Par la bonté et l’humanisme qu’il a prodigué à tous… N’a-t-il pas mérité d’être :

     

    « L’INDIEN DE TOUTES LES COULEURS

    GRAVE DANS NOTRE CŒUR

    DANS NOTRE ÂME POUR L’ETERNITE

     

     

    Quand je l'ai entendu j'étais bien jeune je ne savais pas de qui c'était. Mon père achetait des disques noirs à la Foire à la Feraille à Paris, et souvent il n'y avait plus de pochette ni d'étiquettes dans les lots de disques qu'il ramenait à la maison.

    J'ai pu mettre un nom à la chanteuse et à l'auteur bien 30 ans après. Et dès que je l'entends je suis toujours aussi remuée, émue.

  • UN PEU D'HUMOUR ......

    Moshe se rend à la synagogue avec son perroquet. Le shomer, le gardien, lui interdit le passage. «Moshe, tu ne vas pas entrer avec cet animal dans la synagogue, ça ne se fait pas.»«Mais il est juif.» «Ne dis pas de bêtises, Moshe !» Moshe, se tournant vers son perroquet : «Montre-lui !» Le perroquet fouille alors avec son bec dans un petit sac attaché à son cou et en sort une kippa, qu’il pose sur sa tête. Puis il sort du même petit sac un tallith, un châle de prière, dont il enveloppe ses ailes. Enfin, en se balançant d’avant en arrière, il récite le Shema Israël. «Mais c’est incroyable ! admire le shomer, ébahi. Tu te rends compte qu’avec ces talents tu peux te faire un argent incroyable dans tous les music-halls du monde ?» «Et bien parle-lui, toi, répond Moshe, parce qu’il veut être médecin.»
    Tiré de Libération du 21/09/2010 (Florilège établi par Emmanuelle Peyret) 
     
    Selon la tradition juive, il est recommandé à un homme d’être conciliant dans le mariage et de toujours dire oui à sa femme. Pour voir ce qu’il en est, un test est réalisé par une société d’étude des comportements, qui rassemble 100 cobayes. On leur demande de se répartir : à gauche, ceux qui disent toujours oui à leur femme ; à droite, ceux qui disent non. Ils sont 99 à aller du côté de ceux qui disent toujours oui. Un seul, Moshe, se place du côté du non. Etonnement de tous les autres. «Moshe, qu’est-ce que tu fais là-bas ?» «Je ne sais pas, c’est ma femme qui m’a dit de m’y mettre.»