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femme - Page 19

  • RIEN QU'UNE JOURNEE POUR LA FEMME

    La condition de la femme ne change pas vraiment...Ce sont elles qui élèvent les enfants, qui font la vaisselle, lavent le linge, doivent rester belles et jeunes, sexy. Voir ailleurs les femmes violées, exicés, meurtries, abandonnées. Et toujours cette confrontation avec le sexe fort qui continue d'en profiter par la force, physique ou verbale. Décidément nous sommes bien loin les uns des autres....

    Tant que les hommes seront élèves comme s'ils avaient tous les pouvoirs, cette journée reste insignifiante.

    Ne pensez pas que je n'aime pas le sexe opposé ce qui serait faux, mais j'attends d'eux ce qui devrait être la force de tous : Douceur, écoute, psychologie, finesse, partage, bref toutes les qualités que l'on attribue à la femme quoi.... 

  • Fragile thème cette semaine pour les IMPROMPTUS LITTERAIRES

    Anne Bonaventure - Fragile

    Par Les Impromptus, lundi 3 mars 2008 à 22:40 :: Fragile :: #3439 :: rss

    Il avait traversé sa vie sans fléchir, des épreuves il en a eu. Je pensais qu'il resterait dur comme la pierre, fort, despote même. Envers lui mes sentiments étaient mitigés : entre respect et révolte.
    Les années ont passé et il restait inébranlable. Jusque après ses 80 ans et même plus. Je croyais qu'il deviendrait centenaire....mais il est arrivé chez moi perdu, sale ....Il n'avait plus le front haut ni le verbe. Il était devenu comme un enfant un vieil enfant qui a besoin d'aide qui ne peut plus tout faire si fièrement mais qui ne peut que compter sur l'autre les autres. Je l'ai lavé, nourri, blanchi et puis il est parti à l'hôpital et là .....
    De si fort qu'il était il est devenu fragile, si fragile qu'il est parti.

  • ECRIT POUR LES IMPROMPTUS

    Fallait utiliser 3 couleurs et le spectre.

     

    Anne Bonaventure - Un spectre de couleurs

    Je suis là devant ma toile blanche comme une feuille immaculée.
    Tout est prêt pour que je me lance : pinceaux, brosses, couteaux, médiums, chiffons.
    Musique de fond.
    Sur ma palette en bois bien nettoyée qui sent encore l'huile de lin j'aligne un rouge, un jaune et un bleu.....
    Et je reste là..... comme hypnotisée par le rayonnement de ces couleurs primaires qui d'un coup dansent devant mes yeux et me tétanisent : leur spectre commence sa danse : les rouges oranges jaunes verts bleus violets ultraviolets jusqu'aux noirs profonds me font craindre le pire.
    Leurs beautés, leurs violentes présences m'écrasent : tout devient irréel, je m'enfuis.
    Non je ne peux maîtriser leurs forces vives, leurs présences.... les couleurs m'ont détruite, j'abdique.

    Le carnet où lire Anne Bonaventure

  • PETITE leçon.........

     

    CLIQUEZ LA et regardez la vidéo vous en revoudrez....MOI oui j'adore le....

  • MERCI POUR TOUS VOS COMMENTAIRES ET BONNE JOURNEE

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    RAPPEL VOICI LE LIEN DE PAROLES PLURIELLES CLIQUEZ LA

     SINON:

    http://coumarine2.canalblog.com/

  • LE SAVIEZ VOUS PRALINETTE FAIT PARTIE DU PATRIMOINE NATIONALE

     la Bibliothèque NATIONALE archive nos blogs

    http://jt.france2.fr/13h/

     cliquez là et allez à la vidéo ci-dessous

    - La Bibliothèque Nationale de France - France 2 -
    FEUILLETON DU 13 H ( 18 - 22 Février )
    A Livres Ouverts

    Comme tant d'autres PRALINETTE a son blog archivé je viens de le voir à la TV au journal de 13H sur la 2

    c'est un des travail de la Bibliothèque

    Nationale  en Dépot Légal; allez sur la vidéo à la Sélection 5 à 21 minutes... 

     

    Tous nos blogs ou presque sont ainsi archivés et nous le savions pas ..... 

  • Il n'en a parlé à personne - Paroles Plurielles


    2. Il n'en a parlé à personne (Anne Bonaventure)

    Il n'en a parlé à personne et cela durait depuis bien longtemps déja.

    Sa vie en a été marquée. Même si parfois il avait un air rêveur, on pouvait sentir ce petit quelque chose qui le différenciait des autres enfants. Une attitude, un geste qui laissaient penser qu'il n'était pas si bien que cela dans sa peau.

    Ses parents l'avaient entouré et lui donnaient toute leur affection, ils se comportaient avec lui comme s'ils allaient le perdre.

    Je n'étais invité qu'aux anniversaires, je le voyais grandir toujours avec grâce, mais il gardait comme une certaine distance vis-à-vis des autres et ne semblait pas aimer la vie.

    Je ne l'ai revu que cette année. C'est devenu un homme : il a fait des études mais j'ai été stupéfait d'apprendre qu'il était devenu croque-mort. Quelle idée ? Pas très drôle ...

    Un soir il est venu à la maison partager notre repas et m'a dit :

    - « Tu sais je m'appelle bien Pierre »
    - « Ben oui ».
    - « C'était le prénom de mon frère, oui, celui qui est mort-né. Je l'ai appris l'année de mon bac ».


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