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Livre - Page 12

  • Petit texte pour les impromptus littéraires....

    Anne Bonaventure - Deux yeux verts me regardaient

    Deux yeux verts me regardaient. Je ne pouvais soutenir ce regard trop longtemps. Il me gênait. Ce regard que je devinais plutôt que je ne voyais, et qui me hante encore.

    Etait-ce un regard vivant, un regard intérieur, un regard scrutateur, un regard vide, un regard intelligent… tout à la fois…

    Je me souviens de son intensité de la brillance de sa couleur : vert. Un vert comme ceux des oliviers, teinté de bleu et d’une pointe de gris.
    Il a fallu que je lui ferme les yeux pour ne plus les voir.
    Et même là ses yeux restaient imprégnés en moi ….Des yeux qui toute ma vie m’avaient suivi… m’avait vu naitre, partir, me marier, disparaître, réapparaitre.
    Ses yeux avaient versé des larmes tant de larmes. Avec le temps sa couleur s’était affadie.
    Un voile était apparu. Jusqu’au jour où oui je les lui ferma ses yeux.
    C’étaient ceux de mon père... : deux magnifiques yeux verts qui avaient traversé le temps et l’espace et qui même maintenant restent gravés dans mon esprit.

    http://impromptus.fr/dotclear/index.php

     

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    Ben oui en ce moment j'écris ....et vous .....
  • Petit texte écrit pour Paroles Plurielles.....

    Paroles Plurielles

    Bleu couleur souvenir (Anne Bonaventure)

    Ca fait huit jours exactement que maman m’a laissée auprès des gens

    qui habitent dans cette maison aux volets et portes bleus.

     Je ne sais pas pourquoi elle est repartie si vite.

    Je l’aime bien cette maison oui elle sent bon et elle est belle.

    Avant j’habitais dans une petite pièce

    avec mon frère et maman. Papa était parti je ne sais où…

    .Mais moi je veux grandir ici c’est si joli.

    Mais tout de même je pleure tous les jours….

    La dame m’a dit que je m’appelle Yvette maintenant.

    J’ai dit oui. Elle est gentille et je l’aide à laver le linge,

    à repasser aussi.

    Ya plein d’animaux aussi ici et même un chat tout doux.

     Mais ça ne m’empêche pas de pleurer.

     Le temps passe et je n’ai pas revu mes parents ni mon frère…..

    J’ai repris mon nom : Rachel ….

    et mes nouveaux parents habitent encore la maison aux

    volets et portes bleus

    ils vont avoir 95 ans.

     Et je les remercie ils ont toujours gardé le secret,

    jusqu’à devenir des « Justes »

    et osé dire ce qu’ils avaient fait pour moi. Rachel

     

    http://coumarine2.canalblog.com/.

     

    Blog d'écriture à visiter .....

     

    J'aime écrire des petits textes je trouve que c'est un exercice qui me convient

    ça m'entraine à mettre des idées, des sentiments des sensations

    par écrit....et vous alors....

     

     

     

  • IMPROMPTUS LITTERAIRES

    Anne Bonaventure - La tentation de Sarah

    J’ai tant pleuré toutes les larmes de mon corps. J’ai fait une dizaine de régime, de cures, de psychothérapies……J’ai mis des sous-vêtements sexy, même des strings….. La première décennie de notre mariage est restée inféconde. La deuxième je me suis lancée dans les FIV…..toujours rien que du désespoir…

    Et là j’ai vu mon homme rentrer plus tard, travailler travailler…..ce qu’il a bien pu me mentir….jusqu’au jour où j’ai trouvé cette lettre dissimulée dans son étui à lunettes. « Viens vite le petit est né ». Je me suis écroulée, j’ai tiré mes cheveux, me suis frappée la tête contre le mur….me suis griffée les bras…..

    Mais je n’ai rien osé dire, je suis restée muette de terreur, parce que cet homme est tout pour moi. Je l’ai rencontré à la fac j’avais 17 ans nous nous sommes tout de suite aimés, et mariés 4 ans après…..Tout nous souriait dans la vie, nous avions chacun réussi …..tout pour être heureux…. Sauf : que mon ventre était resté vide…..Nous n’abordâmes les vrais problèmes qu’en devant faire ses sorties chez les spécialistes, je me rappelle nous étions livides l’un et l’autre. Il m’a tout de même avoué la naissance de cet enfant qu’il a reconnu…..L’amour que j’ai pour lui est passé au-dessus de cette erreur mais là je divague je connais sa souffrance, je connais son manque son besoin d’enfant de successeur…..

    Le gynéco m’avait prévenue qu’à la ménopause certains évènements inattendus pouvaient arriver. Je n’y ai pas cru….bien sûr : 30 ans à espérer, à pleurer, à se morfondre, à abandonner tout espoir……Les cheveux blancs apparaissaient ainsi que quelques rides, le mal de dos…..la déprime….

    A 52 ans je me suis sentie bien différente, mes seins se sont mis à gonfler, les nausées sont apparues…….Isaac est né oui Isaac, vous connaissez tous la vie de Sarah celle de la Bible… Mais ce que je ne vous ai pas dit au départ c’est que mon mari s’appelle Abraham et il a 30 ans de plus que moi……

    (photo perso faite au Maroc)

  • LE THEME DE LA SEMAINE ET UN TEXTE COURT ET MELANCOLIQUE

    Anne Bonaventure - Jardin d'hiver

    Je regardais tristement mon jardin d’hiver livré à lui-même depuis des mois…..

    Les camélias, le citronnier, le jasmin, le bougainvillier tout est en « plant »
    Pas d’eau, de gestes tendres, de paroles encourageantes …..
    Abandonnées à leur sort de plantes qui ne reflétaient plus le bonheur de vivre.

    Dans ma demeure du Yorkshire entourée de landes j’avais voulu donné un peu de sourire au paysage : un air de méditerranée. Mais le temps est passé, le temps des rires et des chants, de l’amour et de l’amitié.

    Tant d’amis ont disparu. Encore aujourd’hui un coup de fil matinal m’a appris la disparition du frère d’une amie proche : son frère dévoré par la maladie est mort dans son lit d’hôpital.
    Il avait la cinquantaine…..

    Alors quand je prends place dans ma chaise longue entourée de mes pauvres plantes, je pense au temps qui passe et me dis : zut si la vie est ainsi, si la vie est comme les plantes qui fanent par manque d’eau que dois-je faire ?

  • UN NOUVEAU THEME CETTE SEMAINE ALLEZ Y VOIR

    Anne Bonaventure - Les pavés de Bruxelles

    Moi je l’attendais gare du Nord il devait revenir de Bruxelles...
    Je me rappelle c’était un matin encore un peu frais de mai, avril ou mai je ne sais plus...

    Jacques était exténué il avait arpenté la ville et en avait plein les basquets de ses pavés.
    Un paquet de Spéculos il m’a offert et des pavés en chocolat, gentil non ?

    Bref pas la forme le marcheur, mais il était revenu plein de pellicules de photos pour son bouquin qu’il intitulerait : « Les pavés de Bruxelles ». Une commande c’était...

    Il n’avait pas pu les faire à Paris, vu que depuis 68 peu de quartiers les avaient conservés……les pavés.

    Je me rappelle bien ces heures chaudes des barricades sur St Michel . Le quartier était bouclé.
    A l’époque je n’étais pas encore aux Beaux Arts, mais je venais voir ce même Jacques. En bas du Bd St Germain il avait sa chambre de bonne qui donnait sur Notre Dame.
    Depuis le bouquin est paru, mais Jacques je ne le fréquente plus trop collant le gars...

    http://impromptus.fr/dotclear/  pour lire ce que les autres ont écrit........ou pour y participer.

  • NOUVELLE PARTICIPATION AUX IMPROMTUS LITTERAIRES

    AVEC NON UN THEME cette semaine

    MAIS UNE PHRASE A INSERER EN

    FIN DE TEXTE :

     

    Les Impromptus Littéraires
    Coitus impromptus V.3.0
     

    http://impromptus.fr/dotclear/

    lundi 5 février 2007

    Anne Bonaventure - Je connaissais bien le patron

    Tous les aprèms à 14h, nous avions l’habitude de prendre notre petit noir au café place de la fontaine St Michel, été comme hiver…
    Ceux qui vivaient dans le quartier, les nouveaux arrivants ou ceux qui y travaillaient venaient aussi le soir boire un « perroquet » ou le pastis traditionnel.
    Lulu H. était la vedette de notre petit coin, et passait je ne sais pas au moins une dizaine de fois faire un coucou aux habitués….toujours gai celui-là, l’ami fidèle de l’écrivain du cru ….qu’il m’avait présenté quelques années auparavant...
    Cette année là j’avais fait des portraits, portraits des commerçants, dont celui du patron du café…..trogne rougeaude, air goguenard voir un air légèrement libidineux...
    J’avais aussi fait une grande toile des bouchers avec la mama appuyée à la fenêtre du premier étage au-dessus de la boucherie.
    Je payais souvent mes loyers contre des toiles…..ça m’arrangeait bien. Ils ont toute une collection….
    D’ailleurs au Musée d’Art Contemporain de F. on peut voir quelques-unes de mes toiles d’époque, oui des années 70-80 ; toiles que j’avais laissées en dépôt chez le fameux Lulu...
    L’été avant mon départ pour Paris, avant la fermeture du bistrot, fermeture définitive, oui trop peu de clients, dommage, nous avions fait une petite fête chez moi en pensant à Charlou le bistrotier si sympa, une fête un peu nostalgique : oui je connaissais bien le patron.

  • Nouveau thème dans les "IMPROMTUS LITTERAIRES" à découvrir cette semaine

    Anne Bonaventure - L'élan créatif

    J’avais juste 16 ans et dans ma jeune existence il y avait une interrogation sur mon devenir en tant que femme mais aussi en tant qu’être pensant et agissant….
    Une rencontre déclencha ce désir de réalisation intime et je m’inscrivis dans un cours du soir de la ville de Paris, devenu renommé….

    Puis étudiante aux Beaux Arts je continuais mon cheminement….

    Le temps passe et la vie m’agite, m’étrangle, ou me fait du bien.

    Mais les seuls moments où je me retrouve avec moi, sont ceux où j’ai tout organisé en demi- cercle autour de moi : pinceaux, tubes de peinture, essence, médiums, pastels, chiffon, toiles ou papier à base de particules de quartz et musique bien sûr : Bach…. Lui seul peut m’accompagner dans cette solitude.

    L’atelier garde toujours ce halot de lumière douce déversée par le nord….

    Mais avant tout : j’attends l’étincelle qui va me faire jaillir, bondir, presque courir à mon chevalet, ce petit rien qui va m’émouvoir et me faire fondre littéralement sur une toile soigneusement choisie pour y assouvir tout ce qui m’étreint….
    Oui j’étouffe dans ces moments là, je tremble presque….. : faut que ça sorte. Etrange sensation….
    Oui comme un cri, le cri primal. Puis viennent petit à petit les touches plus ou moins maitrisées, les couleurs et nuances. Et là c’est comme si je me maternais : l’apaisement….. par les caresses ou les violences faites à la toile…..La toile prend vie :la vie que je lui donne. Une vie qui arrive par vagues du plus profond de moi.

    Cris, larmes, amour, désespoir : gestes, couleurs …. Réflexions, tensions, passion……
    manière de vivre, de voir, de ressentir….

    Et si par tristesse l’étincelle s’éteint…
    l ‘émotion peut disparaître.

    Tristes sont ces mois passés sans réels désirs qui me poussent à l’action.
    Pulsions créatrices et critiques mêlées me font avancer ou m’effondrer….. Qui sait réellement ce qui se passe en moi : Moi assurément. Combats intérieurs.
    Rilke décrivait très bien le tourment que vivait Cézanne dans ces moments où le peintre restait vidé.
    Il m’arrive aussi de vivre ce vide. Et j’attends l’étincelle qui me fera redevenir ce que je suis : peintre…. A m’offrir le plaisir de voir jaillir du néant mon être intérieur livré en premier à moi ensuite si les situations le permettent au regard des autres.
    Une première vie sortie de moi une seconde celle que lui donne l’autre.

    Etrange similitude avec l’arrivée la naissance d’un enfant.

     http://impromptus.fr/dotclear/index.php?2007/01/29/1685-anne-bonaventure-l-elan-creatif

    Donnez vos impressions et allez lire ce qu'ont écrit les autres participants....

  • Rien que pour lui je recommencerai.....

    cliquez-là    quelle merveille  "le Petit Prince" oui mais surtout Gérard Philippe.....

  • On continue sur la lancée d'hier.......

       
     

    Interview : Peut-on choisir de vivre heureux ?

    Dans son dernier ouvrage « Vivre heureux. Psychologie du bonheur », le Dr Christophe André* nous livre les secrets du bonheur. Malgré une part innée, il se construit, se suscite, se crée.

     

    e-sante : Vivre heureux est quelque chose d’inné ou qui nécessite un apprentissage ?

     

    Dr Christophe André : Les deux ! Comme pour la plupart des traits psychologiques, il existe, dans l'aptitude au bonheur, à la fois des prédispositions émotionnelles, innées, liées au tempérament (se sentir plus ou moins facilement et spontanément de bonne humeur) sur lesquelles va s'inscrire un style psychologique, acquis, lié à la trajectoire de vie individuelle (modèles parentaux, styles éducatifs, événements de vie).
    Mais le bonheur est un état instable, labile par essence. Nous sommes donc tous des intermittents du bonheur. Et nous avons, pour la plupart, besoin d'apprendre à mieux l'accueillir, le préserver, le susciter. C'est cela, l'apprentissage du bonheur. Pour les plus chanceux, cet enseignement a été offert très tôt par la vie (avoir un heureux tempérament, des parents eux-mêmes aptes au bonheur). Pour la plupart des autres, le travail reste à compléter à l'âge adulte…


     

    e-sante : Pourriez-vous nous en dire plus sur ce que vous intitulez « bonheurs sauvages » et « bonheurs d’élevage » ?

     

    Dr Christophe André : Le bonheur n'est pas un luxe, mais un besoin. Nous avons besoin de bonheur, et pas seulement de bien-être, car nous sommes des animaux dotés de conscience, notamment de la conscience que nous sommes mortels. Ce que rappelait Woody Allen avec sa boutade : « depuis que l'Homme sait qu'il est mortel, il a du mal à être tout à fait décontracté… ». Pour éviter que cette conscience angoissante ne nous empêche de profiter de la vie, nous autres humains avons inventé le bonheur, cet antidote extraordinaire à la peur de la mort, qui nous donne un sentiment de plénitude et de suspension du temps.
    Comme le bonheur est un besoin, les humains ont toujours cherché à s'en rapprocher et à en éprouver autant que possible. Exactement comme pour d'autres besoins, comme l'alimentation (en passant du statut de chasseurs-cueilleurs à celui d'agriculteurs-éleveurs) ou la lumière (en ajoutant à la lumière naturelle de la lumière artificielle, de la bougie à l'électricité). Le questionnement a été le même pour le bonheur : si on se contente de l'attendre passivement, on risque de se retrouver au régime sec ! Il faut donc apprendre à le construire, le susciter, le créer… Mais nous avons besoin des deux : les bonheurs sauvages, qui nous sont offerts, qui nous surprennent. Et les bonheurs d'élevage, de jardinage, qui sont le fruit de nos efforts.


     

    e-sante : Quels conseils donneriez-vous pour vivre heureux ?

     

    Dr Christophe André : Pour faire très simple, il y a trois grandes clés :

    1) Ne pas se rendre plus malheureux que nécessaire, ne pas confondre ennuis et malheur. Les tentations de la tristesse, du spleen, de la nostalgie, nous guettent. Souvenez-vous de cette belle phrase de Victor Hugo : « la mélancolie, c'est le bonheur d'être triste ». Il faut donc apprendre à lutter activement contre la mauvaise humeur inutile…

    2) Ne pas tout confondre : il y a des moments dans la vie, des lieux dans le monde, où la question qui se pose n'est pas celle du bonheur mais celle de la survie. Il est indécent de parler du bonheur à quelqu'un qui fait face au deuil, à la misère, à la violence. Il faut savoir accepter les parenthèses du bonheur, en veillant simplement à rendre son retour possible…

    3) Il faut construire son bonheur, et non l'attendre. Je ne sais plus quel philosophe disait : « le bonheur est à faire, et non à prendre ». Il est à faire de mille et une façons : accueillir les petits bonheurs, cultiver les émotions positives, développer son altruisme, apprendre un optimisme lucide…


    Interview : Peut-on choisir de vivre heureux ? * Christophe André est médecin psychiatre à l'hôpital Sainte-Anne et enseignant à l'Université Paris 10. Il es l'auteur de nombreux ouvrage dont « Vivre heureux. Psychologie du bonheur », Paris, Odile Jacob, 2003 ; « Petites angoisses et grosses phobies », Paris, Éditions du Seuil, 2002 (avec l'illustrateur Muzo) ; « La force des émotions », Paris, Éditions Odile Jacob, 2001 (avec F. Lelord) ; « La peur des autres : trac, timidité et phobie sociale », Paris, Éditions Odile Jacob, 2000 (avec P. Légeron) ; « L'estime de soi », Paris, Éditions Odile Jacob, 1999 (avec F. Lelord) ; « Comment gérer les personnalités difficiles », Paris, Éditions Odile Jacob, 1996 (avec F. Lelord).

  • Je m'étonne moi-même.....

    Je n’arrivais jamais à l’heure, et c’était tjrs la même histoire, il attendait sur le palier, les yeux baissés, l’air tristounet. Il n’osait rien dire, et d’ailleurs qu’avait-il à dire à me dire. Pas grand-chose. Je l’aimais bien il avait cet air de chien battu que je trouvais attendrissant, comme pratiquement toutes les femmes j’aimais jouer, avec ce genre d’homme,  à celle qui console.

    Nos soirées étaient souvent tristes, mais je m’y suis accoutumée, en écrivant cela je m’aperçois que je m’y suis accoutumée trop rapidement.  Mais peu importe l’essentiel c’est que j’y ai trouvé du plaisir, et du plaisir, et bien il savait m’en donner.

    Il ne causait pas mais faisait une excellente cuisine des plus raffinées : des poulets agrémentés de toutes sortes de légumes exotiques, des desserts embaumant la cannelle, et tout cela arrosé des meilleurs bordeaux . Seulement  un jour je l’ai vexé j’ai rajouté un peu de sel…….

     

     Je m'étonne moi-même, vous vous demandez pourquoi ?

    En farfouillant dans "mes documents" je tombe sur un texte que je ne me rappelle pas avoir écrit, et en le lisant je suis étonnée, mais qu'est-ce que j'ai bien voulu dire ?

     

    c'est à la fin que j'ai compris : je l'ai écrit au mois d' août pour "coïtus impromptus" ce site qui m'envoie chaque semaine (comme à d'autres) un mot ou quelques mots à introduire dans un texte; et voilà le mot ici était "sel" ou "un peu de sel"

     

    Je me suis demandée mais est-ce que c'est quelque  chose que j'ai vécue ou que j'ai inventée de toutes pièces, alors là : tiens je vous le demande : AVEC "SEL" que faites- vous ?.......L'ECRIRE EN UNE PHRASE........